top of page
Nouvelles Ufologiques par le MUFON France

Chronique de Sylvain Matisse

An de grâce 2020 jour 10 du mois de janvier.


L’exploration pour ouvrir des portes, celles des découvertes débouchant sur de la connaissance. L’aventure, l’exploration nous invite au voyage à celui de la connaissance et de la découverte , la soif d’apprendre anime les passionnés. Il existe plusieurs façons de voyager.


Nous pouvons lire, regarder des films, des reportages toutes sortes de documentaires, pour découvrir et ainsi s’instruire ,ou tout simplement rêver . Nous pouvons également suivant, nos moyens, partir vraiment, pour de bon ,loin de chez nous, nous évader , que ce soit à pieds, à cheval, à vélo, en moto ,en voiture ,en avion, en bateau ,etc , peu importe l’art et la manière .


L’ennui de notre fade quotidien peut s’ effacer ainsi. J’aime les endroits partiellement ou totalement inconnus, car ils permettent à notre cerveau d’imaginer ce qui peut se cacher derrière. A partir de là il existe deux façons de se connecter à un lieu qui nous paraît étrange car insondé , vierge de toute visite humaine. Soit nous contemplons de loin et essayons de visualiser le contenu du monde inexploré, soit nous entreprenons un voyage en le préparant et en effectuant des recherches.


C’est ce que font des gens que j’estime beaucoup comme James Cameron s’il fallait en citer un ! Mes ouvrages sont quelque part un support d’évasion pour moi car de lecteur et de consommateur je suis devenu acteur, ô combien même j’aurai souhaiter faire davantage dans cette vie déjà bien entamée. Mais l’heure n’est pas au remord, car mon histoire n’est pas encore achevée semble t-il et j’ai encore des rêves.


Les explorateurs m’inspirent comme les lanceurs d’alerte force le respect . Ces deux centre d’intérêts paraissent si opposés , si loin l’un de l’autre, et pourtant l’énergie que consacrent les personnes à leurs idéaux reste la même, ils vont au bout des choses et c’est cela que je retiens. Les explorations spatiales et sous-marines et les films de science fiction qui choisissent ces thèmes me font tout simplement rêver au pire, et me font réfléchir au mieux à des situations, à des probabilités , à des circonstances. Je me demande parfois si l’exploration à ne pas confondre avec l’exploitation qui débouche bien souvent sur du profit, n’est pas la raison de notre existence, celle désirée par le créateur du vivant, notre grand architecte dans ce vaste univers dans lequel figure notre petite planète.


Au sein même de notre planète il existe des mondes encore inexplorés faute de moyens techniques, mais, qui , au fil du temps évoluent et permettent ainsi des accès. Le monde sous-marin de notre planète en attendant les autres mondes sous-marins qui existent sur d’autres planètes, des lunes ou des exoplanètes n’a pas encore livré tout son contenu. J’ai toujours été attiré par les endroits parfois banals mais qui me paraissaient insolites car c’était la première fois que je les voyais. Un bunker sur une plage en Vendée en colonie de vacances, un grenier d’un restaurant de mon oncle à Autun, un sous terrain quelconque , une grotte ,etc, ne m’ont jamais laissé de marbre, insensible, et même si au bout du compte si après examen du lieu ,il n’y avait rien de formidable.


Alors quand il s’agit de gouffres , de grottes, de fonds marin ou du cosmos je vous laisse imaginer mes pensées. Je suis une sorte de fouine, j’aime mettre mon nez là où il ne faut pas, et lorsque je ne peut pas le faire moi même ,alors je suis content que d’autres s’y colle, pour le peu qu’ils partagent leurs découvertes , leurs émotions, etc. Les fonds marins plus précisément océaniques comme la fosse des Mariannes par exemple qui a été découverte en 1875 et qui est profonde de 11km environ ,( 10.995 mètres) et qui est située à l’est des îles Mariannes (qui est un ensemble d’îles dans l’est de la mer des Philippines ) et dans la partie nord-ouest du Pacifique à de quoi susciter la curiosité de plusieurs personnes, et les rares explorateurs qui ont osé s’aventurer dans ces profondeurs abyssales font figure de privilégiés.


Vous retrouverez un passage de ceci dans le petit historique dans mon second ouvrage OANI compléments d’investigations (aux éditions SAINT MARTIN) au chapitre 3 intitulé: exploitation et exploration sous-marine , projets futuristes. Des recherches scientifiques sont menées dans les grandes profondeurs et à ce propos un calmar géant ( nom scientifique = Architeuthis dux) , peut atteindre une dizaine de mètres . Des savants spécialisés en biologie moléculaire pensent qu’une seule espèce de ce type existe. Comment ne pas penser à une créature encore plus grosse ,au Kraken d’après la mythologie scandinave qui propose cette créature et aussi le roman de Jules Verne 20 mille lieux sous ,les mers .


Manque encore des études poussées pour des espèces plus grosses, la raison principale est certainement le manque de données. En effet, pour étudier il faut croiser ces spécimens et les tracer si possible. En eaux très profondes c’est encore assez compliqué de tout explorer mètres par mètres sur plusieurs centaines de kilomètres ! J’ai visionné le film américain Underwater réalisé par William Eutbank. Ce film catastrophe de la SF ( Science Fiction) est assez spectaculaire mais ce qui m’a intéressé, c’est le message ( un de plus que nous laisse le 7éme art!), celui de la folie des hommes qui peut conduire à des déconvenues.


A force de creuser dans les entrailles de la terre de plus en plus profondément, nous pourrions non seulement endommagé encore plus notre écosystème que nous avons déjà assez fortement affaibli, mais ne pouvons nous pas «réveiller» des forces , des êtres que nous devrions éviter ? Existerait-il un prédateur des fonds marins tapis quelque -part ? Il faudrait être prudent en explorant ces grandes profondeurs en prenant garde et en prenant soin de ne pas déranger des êtres qui ne demandent rien.


Alors afin d’éviter d’être un jour victime il faudrait d’abord respecter les endroits que nous souhaitons visité et mieux encore, il faudrait arrêter de produire et d’exploiter à gogo ! Une équipe du commandant Cousteau semble avoir été concerné un jour par ce type de mésaventure. Le mystère du commandant Cousteau Publié 7 février 2012 par Era dans Cryptozoologie Marine, Mystères Marins et Légendes .


Note de l’Administration : investigation océanographique et OANIS.

En contact avec Francis, celui-ci nous a précisé que le témoin est crédible puisqu’il le connaît personnellement et que ce témoin n’aime pas se mettre en avant et encore moins fabuler puis qu’il est militaire de carrière et qu’il a depuis longtemps dépassé ce stade. Par contre le spécialiste qui a essayé de travailler sur le problème avec le témoin, n’est pas connu de Francis, de même que son professionnalisme. Vous avez donc le témoignage le plus authentique possible du témoin rapporté par Francis, et mis sous forme d’article avec l’accord de ce dernier et du témoin si cela peut aider la filière dans le domaine Investigation.


Ce dimanche, je recevais un ami de longue date, Loïc R. aujourd’hui retraité de la marine Nationale et tout naturellement je lui ai parlé de ce site. Il m’a alors raconté une anecdote. Loïc R a servi dans le milieu des années 70 à bord du ” Henri Poincaré ” sous les ordres du contre amiral Philippe de Gaulle comme quartier maître chef. Le Henri Poincaré emmenait parfois des missions scientifiques même si ce n’était pas la première fonction de ce bâtiment. Un soir alors qu’il était de quart, un scientifique vint lui parler et lui raconta ceci : . Au début des années 70, l’équipe du commandant Cousteau croisait en mer rouge afin d’y faire des observations. Pour ce faire, ils mirent à l’eau une caméra robotisée destinée à observer les grands fonds. Au bout de plusieurs minutes, les membres d’équipage ressentir une violente secousse dans le câble et décidèrent de remonter la caméra. Lorsque celle-ci refit surface, elle était complètement broyée… Une seconde caméra fut donc mise à l’eau mais cette fois-ci dans une cage de protection. La descente dura plusieurs minutes jusqu’au moment où une nouvelle secousse se fit sentir. L’équipage décida de continuer l’expérience. Quelques minutes plus tard, le câble se tendit à se rompre et le navire commença à prendre du gite. Quelque chose essayait d’emmener le navire par le fond. L’équipage dut couper le câble car le navire au bout de plusieurs minutes menaçait de chavirer.


Loïc R. qui a croisé sur toutes les mers du globe ne pouvait s’empêcher de penser à cet incident à chaque fois qu’il naviguait en mer rouge… Je connais Loïc de longue date et je n’ai aucune raison de mettre son histoire en doute, ce n’est pas le genre d’homme à plaisanter… . Quelle était donc cette chose capable d’entraîner un navire d’exploration vers le fond ? Nous ne le saurons sans doute jamais mais cela démontre bien que nous ne connaissons pratiquement rien de la faune sous-marine qui vit dans les grands fonds.


D’ailleurs posons nous ces questions. Pourquoi ,le commandant Cousteau est devenu le plus ardent défenseur du *traité de l’antarctique ? Est ce à cause d’une rencontre effrayante ou un quelconque avertissement venu du monde du silence ? A moins qu’il n’ai été simplement devenu un fervent adepte de la simple cause écologique. Wikipédia: En 1973, il crée aux États-Unis The Cousteau Society, une entreprise consacrée «à la protection des milieux aquatiques, maritimes et fluviaux pour le bien être des générations actuelles et futures».


En 2011, elle revendique plus de 50000 membres. En1983, les signataires du traité, qui protégeait l'Antarctique depuis1959, commencent à négocier le droit d'exploiter les ressources minières du continent. En 1988, la convention de Wellington prévoit d'autoriser des zones d'activités minières. Plusieurs ONG, dont Greenpeace, s'opposent à ce projet et Cousteau s'engage pour cette cause, notamment à la suite du naufrage de l'Exxon Valdez78, 79. Il présente une pétition d'environ 1,2 million de signatures au gouvernement français qui refuse, ainsi que l'Australie, de signer la convention.


En 1990, avec six enfants venus des six continents, il « vient prendre symboliquement possession de l'Antarctique au nom des générations futures». En1991, le protocole de Madrid établit une protection globale de l'environnement en Antarctique pendant au moins 50 ans. *Le Traité sur l’Antarctique constitue un exemple unique au monde de gouvernance internationale d’une région dédiée à la paix, à la science et à la protection de l’environnement.


Né à l’issue de l’Année Géophysique internationale de 1957-1958, le Traité a ensuite été complété par divers instruments, dont son Protocole relatif à la protection de l’environnement, ou Protocole de Madrid : sans doute celui qui influence le plus les conditions d’accès et les activités menées au sud du 60e parallèle sud. Parmi les règles les plus connues du Protocole figure le moratoire sur l’exploitation des ressources minérales en Antarctique. La suspension de ce moratoire en 2048 a peu de chance d’aboutir, contrairement à ce qu’annoncent de nombreux médias. Mais le dérèglement climatique ou des activités comme le tourisme, non anticipés lors de la rédaction des documents fondateurs du Traité, demandent à être pris en compte dans l’élaboration des futures règles s’appliquant au continent blanc.



En conclusion: Les années à venir vont aboutir sur de nouveaux projets, concrets et des explorations comprenant une logistique de haute technologie , incluant des robots, des soucoupes sous marines de plus en plus sophistiquées , des drones, des outils de captures, des vidéos,(caméra haute résolution ) des détecteurs , toutes sortes d’ instruments pour des études ainsi que des outils à des fins d’analyses, etc. Ceci s ‘avère passionnant pourvu que les résultats soient partagés au plus grand nombre sans cover up! Je suis persuadé que tant de choses restent à découvrir dans nos fonds marins comme dans le cosmos, en attendant que l’océanographie interplanétaire exerce bien au-delà de notre petite et belle planète bleue.


Vous aimez nos articles ? Partagez les et faites découvrir le Mufon France !



Comments


bottom of page