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Nouvelles Ufologiques par le MUFON France

Le mythique Chupacabra aurait été vu en Bolivie ?


Un visiteur d'un autre monde ? C'est ce que disent les habitants du quartier de Monteagudo à Santa Cruz, en Bolivie. Après avoir vu une étrange lumière dans le ciel, les habitants disent avoir vu un extraterrestre, dont l'apparence était comparée à celle du mythique chupacabra, qui chassait et effrayait les enfants.


Esquisse de l'être étrange et d'une des marques laissées par lui, sur un arbre.

Source: ARV / Telemundo


Juan Salcedo, l'un des témoins, a mentionné qu'un objet est tombé précipitamment du ciel, laissant de la fumée dans son sillage, éclairée par un feu rouge-orange, dans la nuit du 25 avril. On raconte qu'après le bruit, une étrange créature «semblable au chupacabra» a été aperçue errant dans les rues, qui aurait pourchassé les enfants et les jeunes qui se trouvaient sur place. «Lorsque l'objet est entré dans le ciel, il a été entendu comme un fracas, un rugissement. De plus, l'objet semblait mettre le feu », a expliqué l'ufologue Javier Aliaga.


La résidente Maribel Espinoza était très inquiète, disant que l'être avait "scanné" ses enfants. Des témoins le décrivent comme mesurant environ 30 centimètres de haut, avec une tête ovale, de grands yeux et trois doigts dans ses mains, étant descendu de l'objet qui venait du ciel.


Traces laissés par l'atterrissage et dessin d'un témoin


Les habitants effrayés rapportent que l'être a laissé des traces visibles de son passage, qu'il n'était pas un animal connu et qu'il s'est ensuite enfui. Selon les témoins, quelques heures après la disparition du petit être, la lumière qui avait atterri a décollé, disparaissant dans le ciel et laissant une marque en forme de cercle sur l'herbe, comme indication de son atterrissage.


Aliaga rappelle que l'incident mérite une enquête sérieuse et a demandé un soutien scientifique pour l'analyse des empreintes. Pendant ce temps, les témoins les plus touchés ont reçu une assistance psychologique. «On pourrait penser que c'était un cas de stress ou d'hystérie collective. Nous travaillons pour que les gens ne paniquent pas et ne pensent pas qu'ils sont fous », a déclaré le psychologue Marinés Salazar. Mais qu'en est-il des preuves? Pour l'instant, il reste à Aliaga à demander de l'aide.



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