Ecrit par Michel Duthé
Ce qui paraît magique aujourd'hui ne sera que physique courante demain
Ce texte constitue une tentative de contribution à la compréhension du phénomène ovni
Les lignes qui suivent ne sont que des propositions. Elle reposent sur le bon sens de l'ingénieur , de la curiosité d'esprit du scientifique et du physicien (quand il n'a pas les mains liées, comme c'est mon cas en tant que retraité libre), et de la lecture attentive d'un certain nombre de témoignages sur les apparitions d’ovnis et les phénomènes associés.
J'aborde très brièvement un certain nombre de sujets qui mériteraient chacun un long développement. Mon court texte, un peu provocateur pour les scientifiques établis ou chargés de labos, ouvre la voie à de nombreux sujets de recherche, y compris dans le domaine de la défense. Je ne prétends divulguer aucun secret, mais chacun sait que ce type de recherche est déjà engagé dans divers pays de façon plus ou moins confidentielle. Des responsables tels que Luis Elizondo aux USA ont déjà évoqué l’hypothèse spatio-temporelle.
J'entame mon propos par le voyage dans l'espace et la physique avancée à développer qui le sous-tend.
Voyage dans l'espace :
En réponse au problème des distances énormes à parcourir dans notre galaxie, la Voie Lactée, ou vers d'autres galaxies, des physiciens renommés comme Michio Kaku ont popularisé l'idée des Trous de vers. On a pu lire à son sujet : En 1935, Albert Einstein et Nathan Rosen se sont rendus compte que la relativité générale autorise l'existence de ponts, connus aujourd'hui sous le nom de Trous de vers. Ces sortes de tubes spatio-temporels se présentent comme des raccourcis, reliant des régions de l'espace très éloignées les unes des autres. En voyageant dans un Trou de ver, on pourrait se déplacer plus rapidement entre ces points qu'un faisceau lumineux en ligne droite. Les Trous de vers offrent la possibilité du voyage temporel.
Cette théorie, certes élégante, est à la fois trop simple et insatisfaisante (on ne pourrait atteindre qu'un nombre limité de points de notre espace, un seul dans l'exemple illustré et probablement sans intérêt). Cette théorie a cependant l’avantage de nous inciter à sortir de la physique actuelle qui nous est familière . On entend souvent : « ces appareils ont des comportements qui défient la physique ». Ils ne défient absolument pas la physique mais seulement la physique qui nous est familière aujourd’hui.
Allons plus loin car nous sommes visités, depuis l’Antiquité et encore plus aujourd’hui notamment depuis l’avènement de l’industrie nucléaire, les neutrinos engendrés par nos expériences et nos explosions ayant rayonné tous azimuts, et donc si nous sommes visités, les lois de la physique actuelle sont largement dépassées par d’autres civilisations. Présentons-nous de l’intérêt pour nos visiteurs ? Nous habitons en périphérie de la galaxie (4,5 milliards d'années d'âge pour notre système solaire, contre 9 milliards au centre de la Voie Lactée), on remarque que tous les systèmes habités sont plus âgés ou considérablement plus âgés et donc avancés que nous, ou même disparus, sauf peut-être quelques voisins eux aussi en périphérie de la galaxie. En tout état de cause les neutrinos voyageant à la vitesse de la lumière l’apparition des ovnis a été quasi immédiate alors que les premiers systèmes habités sont à plusieurs centaines d’années-lumière, preuve que la vitesse de la lumière n’est pas un obstacle pour nos voisins galactiques. Et de plus, comme nos visiteurs, on doit pouvoir se transporter partout. Il existe donc des moyens physiques de voyager dans l’espace bien supérieurs à ceux que nous utilisons.
Prenons l'exemple de l'espace vert de la figure qui est à deux dimensions et courbe (notre Albert Einstein nous l’a dit). Supprimons le trou de ver qui ne propose qu'une destination et supposons que le vaisseau qui parcourt le chemin jaune, dépasse la vitesse de la lumière propre à l'espace 2D vert. En quelques fractions de secondes de temps de l'espace 2D, avec du flou et des changements de couleurs (de nombreux ovnis vus ou photographiés proches de la vitesse de la lumière et donc proches de la visibilité dans notre espace apparaissent ainsi) , il disparaît de cet espace et entre dans l'espace blanc à 3D. S'il connaît le raccourci ou si simplement il voit la forme verte et s'il n'est pas gêné par d'autres espaces 2D présents, il peut réapparaître dans son espace d’origine, en ralentissant sa vitesse, dans la zone objectif verte. Idem pour un espace à 3D, le nôtre, lequel est lui aussi courbe d'après Albert (c'est difficile à imaginer comment on nous voit d'un espace 4D, un genre de fleur d'orchidée? ). Notre vaisseau doit atteindre la vitesse de la lumière pour disparaître à nos yeux et de nos radars , prendre le raccourci le plus direct dans le 4D et atteindre n'importe quel point de l'espace 3D qui nous est familier. On voit donc qu’en dépassant la vitesse de la lumière nous quittons notre espace pour y réapparaître beaucoup plus loin peu de temps après.
Vitesse de la lumière :
Mais comment atteindre la vitesse de la lumière ? On sait que : vitesse = distance parcourue en un temps donné. Jusqu'ici on s'est obstiné à imaginer que pour atteindre C il faut augmenter la vitesse, alors qu'on peut aussi bien jouer sur le dénominateur de la fraction. Il suffit que le vaisseau s'entoure d'une bulle temporelle dans laquelle la vitesse d’écoulement du temps est fortement ralentie, par exemple d’un facteur (10)6. Il ne reste plus qu'à donner une petite accélération acceptable par les organismes et les matériels et s'engouffrer dans le 4D, traverser tous les 3D présents sans encombre (on les voit mais on passe au travers) et revenir dans son 3D d'origine en un autre point de celui-ci. Et même sans passer dans le 4D on peut voyager à de très grandes vitesses, proches de la vitesse de la lumière, dans notre espace. Pour voyager dans l'espace il faut donc maîtriser le temps, et en particulier la vitesse d'écoulement du temps en créant un champ qui ralentit localement les chronons. Un champ magnétique intense semble le mieux adapté comme le pensait Tesla qui a travaillé pour la Marine américaine dans ce sens (expérience de Philadelphie...). Un tel champ ayant aussi une interaction avec le champ gravitationnel.
Évidemment ça pose des tas de questions : risque d'un grand nombre d'espaces 3D dans le 4D et donc de ne pas reconnaître le bon au retour, problème de synchronicité spatio-temporelle lors du retour dans le 3D, voyages intempestifs dans d'autres 3D parallèles...
Maîtriser le temps : Comment maîtriser le temps? On remarque que de nombreux ovnis sont discoïdes ou sphériques, que surtout un dispositif tourne autour en périphérie de l'appareil (généralement dans le sens des aiguilles d'une montre vu de dessous, une étude statistique des témoignages recueillis serait intéressante pour vérifier cet invariant). D'où l'idée qu'ils créent un champ permettant de ralentir le temps dans leur environnement proche. On constate parallèlement une relation entre gravité et temps. Si ces deux grandeurs sont de nature corpusculaire on pourrait imaginer une relation entre les gravitons et les chronons du type G= m (T)2, G étant l'intensité du champ gravitationnel dans lequel est soumis l'objet de masse m et T étant la vitesse d'écoulement du temps dans ce champ. A noter que ce champ constitue une anomalie de notre espace-temps. Ce serait une loi d'équivalence du même type que la loi d'équivalence masse/énergie. La bulle est aussi anti-gravitationnelle, car si T est suffisamment petit, G l'est encore plus. De même qu'une particule de vitesse nulle a une énergie nulle (selon E=mC2), si G tend vers zéro, T tend aussi vers zéro.
Comment fonctionne le moteur anti-gravité ? Diverses idées circulent. Le champ tournant (autour d'un métal, d'un cristal , de l’élément 115 ?) génère des gravitons vers la Terre de sens contraire qui annulent les gravitons de l'attraction planétaire. Quand G diminue, T diminue aussi, selon G=mT2.
A noter que cette idée du ralentissement du temps dans le champ proche de l'ovni engendré par un champ magnétique fort explique les perturbations électromagnétiques (de nombreux arrêts de moteurs d'automobilistes, coupures d'électricité, désactivation de l'électronique embarquée dans les têtes nucléaires des silos, avec retour de la réactivation après éloignement de l’ovni, etc), les vitesses de l'ovni élevées, les vitesses stationnaires, la sphère colorée que l'on voit d’abord avant de distinguer l'ovni à l'intérieur, le silence, le contour flou avant que l'ovni ne soit synchrone avec l'espace-temps terrestre...bref la plupart des observations récurrentes du phénomène ovni. En réalité, le moteur ne s'arrête pas il tourne simplement beaucoup plus lentement jusqu’à ce que l’ovni et sa bulle spatio-temporelle s’éloignent, après quoi il redémarre miraculeusement (*).
On commence par voir la sphère spatio-temporelle puis l'engin quand le générateur magnétique ralentit, d'où les impressions de transformisme. Quand l'engin est posé le générateur reste opérationnel et maintient une faible gravité autour de lui: les occupants à l'extérieur qui sont surpris ne "volent" pas pour rejoindre l'entrée supérieure de l'engin mais simplement sautent vu leur faible poids apparent. Les occupants sont rarement blessés en cas de crash ou soumis à de fortes accélérations car soumis à l'espace-temps régnant dans l'habitacle, leurs sièges sont enveloppants pour faire face à l'apesanteur interne. Les occupants ne sont pas soumis aux accélérations apparentes vues de l’extérieur, mais aux seules accélérations très faibles de l’intérieur de la bulle spatio-temporelle.
(*) On peut se demander pourquoi la conscience du témoin ne ralentit pas à l’instar du moteur et de la radio de sa voiture. Il semblerait que l’homme soit mentalement exonéré du phénomène électromagnétique. Des explications sont possibles, liées à la nature même de la conscience, mais ceci dépasse le cadre du présent article. Cette observation par contre est de nature à nous rendre très optimiste quant à notre capacité à voyager dans l’espace par des moyens futurs...
Missing time
Le phénomène du "missing time" s'explique facilement dans l'hypothèse de la bulle spatio-temporelle. Si le témoin est assez proche de l'ovni, il peut être sous l'influence du moteur anti-gravitationnel donc dans un champ proche où le temps s'écoule moins vite. Ainsi s'il pense rester 10 minutes, conformément à sa montre, il peut s'être écoulé trois heures en temps terrestre. Quand l'ovni disparaît, sa montre est alors en retard de 2 h 50 min sur le temps terrestre. Un témoin restant une heure en observation dans l'ovni, peut réapparaître avec un retard de plusieurs jours, un témoin partant deux heures en voyage dans l'espace dans l'ovni peut revenir quand plusieurs semaines ou mois se sont écoulés sur Terre. Ce dernier aura vécu un peu moins que son âge civil !
On peut penser raisonnablement que l'impact sur le témoin décroît progressivement depuis le centre du phénomène jusqu'à sa périphérie selon une loi à explorer. Une étude statistique à faire serait de comparer tous les cas où un missing time est rapporté en portant sur un diagramme la distance du témoin au centre du champ anti-gravitationnel en fonction de la valeur du missing time rapportée à une durée de référence, par ex 5 min. On opère ensuite une régression (linéaire, logarithmique...) et si une courbe caractéristique apparaît on aura acquis la conviction que:
-le phénomène a la même origine motrice,
-une de ses conséquences est décrite selon une loi familière (décroissance en 1/x ou 1/x2, etc.).
Un tel résultat constituerait une avancée significative dans l’acquisition de « la preuve ».
Inversement on peut imaginer que le générateur magnétique, ovni en stationnaire, augmente le ralentissement du temps dans une distance suffisante pour faire sortir l'abducté de l'espace-temps terrestre et le porter en apesanteur hors de sa chambre...Nul doute qu’un tel réglage de l’extension du champ proche est possible.
Défenses réciproques :
On voit que les OVNI avant d'entrer carrément dans notre espace-temps, restent un moment dans une situation transitoire et limite. Ils sont flous, colorés, de forme mouvante, à la limite de visibilité. Et ils ont raison de rester dans cette “anomalie” de notre espace-temps. S'ils sont attaqués, une simple accélération minime et ils retournent dans le 4D et notre missile arrive trop tard et se perd car il n'a plus d'accroche radar ni thermique.
En revanche ils sont plus vulnérables quand ils sont nettement en dessous de la vitesse de la lumière (même s’ils semblent stables à nos yeux) et donc intégrés et synchrones dans notre espace-temps. La plupart des crashs sont dus à des circonstances accidentelles, notamment des coups de foudre contre lesquels ils n'ont pas le temps de réagir. Pour notre défense un coup de fusil ne sert à rien: la balle mettra des mois à parcourir les premiers centimètres de la sphère spatio-temporelle, laissant largement le temps à l'ovni de s'en aller, pour peu que l'engin ait gardé un minimum d'écart par rapport à notre espace-temps. Les meilleures armes sont sans nul doute les armes laser (vitesse de la lumière). Contre une invasion aliène, le seul bouclier serait une batterie de satellites capables d'effectuer des tirs laser dans toutes les directions et pas seulement vers les SSBS de l'ex-URSS…Mais peut-être les USA y ont-ils pensé…
Conclusion d'étape provisoire :
Sur le plan de la physique, j'opte (comme d'autres avant moi) pour une relation d'équivalence gravité/vitesse du temps qui peut expliquer beaucoup de témoignages sur les ovnis. Un ovni stationnaire qui part brusquement à grande vitesse, intrusion en milieu a priori hostile pour nous (volcans, océans), etc
Cette proposition n'est pas innovante. On a modélisé depuis longtemps la nature corpusculaire de l'atome, de l'énergie, de la lumière… Je ne fais qu'étendre cette proposition à la gravité et au temps. Il reste évidemment à isoler les gravitons et les chronons et à trouver le champ qui les ralentit (probablement un intense champ électromagnétique comme dans les expériences de Tesla, dans un mode de champ tournant qui nous est déjà familier). Les deux sont liés: un champ gravitationnel agit sur la vitesse des chronons et vice-versa.
Sur le plan de la défense, parmi la grande diversité de nos visiteurs, certains semblent être hostiles. Il faut donc se préparer et j'opte pour des armes lasers car avec la vitesse de la lumière nous revenons à égalité, du moins dans une circonstance de synchronicité avec notre espace-temps.
La manipulation de l'espace-temps est le progrès essentiel qui nous reste à accomplir pour voyager dans la galaxie au même titre que ses autres occupants plus avancés. C’est la prochaine étape majeure en physique.
Postface
La démarche ici est en contradiction avec la démarche scientifique classique qui consiste à avancer pas à pas du connu vers le nouveau, en fragmentant les phénomènes, en proposant une théorie à peine différente et en voyant un à un si les effets concordent.
Confronté à un fort changement de paradigme, il est préférable de prendre le sujet à l’inverse, dans une démarche de méta analyse, à savoir retenir d'abord les effets invariants ou récurrents et trouver une théorie globale qui pourrait les expliquer. Des propositions sont faites dans l’article pour conforter les invariants du phénomène ovni. Ce point peut bien sûr être développé.
On en conclut quand même à ce stade que la manipulation locale de notre espace-temps répond à 90% aux effets observés (missing time, silence, arrêts moteurs, lumières floues, disparitions à nos yeux et accélérations brusques, protection des EBE contre les effets de l'accélération, antigravité, extraction de l'énergie du 4D et non de notre 3D (lumières d’Hessdalen?), etc...).
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coquille1ère ligne
"Elles reposent", pardon